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Lecture d'un chapitre



Lecture du chapitre 5
Nom de l'œuvre : DONJONS & DRAGONS: Barlog, le maléfique Nom du chapitre : Le donjon: à la recherche de la clef de fer
Écrit par starsky_du04 Chapitre publié le : 10/5/2006 à 15:27
Œuvre lue 13407 fois Dernière édition le : 21/9/2006 à 17:32
« Bon, je vais donc suivre ce couloir, et aviser selon ce qu´il y a au bout… » Se dit Barlog. Il suivit donc le couloir jusqu´au bout. Arrivé au bout, il se séparait en deux chemins : droite ou gauche. Barlog prit à droite. 15 mètres plus tard, il se sépara encore en deux chemins. Barlog reprit celui de droite. Et ainsi de suite pendant une trentaine de fois. Au moment où il tourna pour la 31° fois à droite, il remarquât une grille. S´en approchant silencieusement, il s´aperçut qu´il y avait une chose derrière. Furtivement, il se glissât au plus près de la cage, quand il entendit :
« Barlog, qu´est ce que tu fous là ? T´as la clef ?
- Que… Quoi ? Aurais-je tourné en rond ?
- Je crois oui… c´est vrai que c´est un labyrinthe à partir de là. Voici le chemin qu´il faut suivre : Gauche trois fois, puis droite, puis gauche, et enfin deux fois droite.
-Merci, j´y…
-Chut, une dizaine de gobelins arrivent…
-Dix seulement ? Trop facile… »
Sans se retourner, il préparât un sort de boule de feu. Au moment où Kass-Krân lui dit « ils sont derrière ! », il s´envolât, se retournât et lançât la boule de feu sur les gobelins. Avant même qu´elle n´arrive, il fondit sur eux et frappât de tous côtés jusqu´à n´entendre plus un cri.
Les gobelins tués, Barlog suivit les instruction de son `ami´, et put ainsi sortir du labyrinthe. Il arrivât dans une grande pièce rectangulaire, avec trois portes qui donnaient sur un bloc de petites pièces. Il décidât donc de prendre celle du milieu. Juste au moment où il entrebâilla la porte, il entendit un sourd grognement. Il rentra donc promptement et, se recroquevillant contre le mur, il essayât de passer inaperçu, avec sa faculté de discrétion. Il entendit « c´est rien, une fausse alerte », prononcé par une voix frêle, mais qui avait l´habitude de commander. Il reconnut une voix de gobelin vigie. « C´est bien ma veine ! En fin un peu d´exp. » Sortant son bâton de sous sa cape, il se levât et l´abattît fortement sur le crâne du gobelin. Les autres, terrorisés car n´ayant pas l´habitude de prendre une initiative, ne bronchèrent même pas quand il les égorgeât un à un. Ceci fait, il remarquât une porte sur sa droite, et une en face. Il décidât de prendre celle en face. Arrivé dans cette pièce, il ne vit qu´une porte, à gauche. Il la prit et tombât dans une pièce sombre, et une voix caverneuse lui disant :
« Un pas de plus et t´es mort !
-Qui êtes vous ? » Dit Barlog et préparant une boule de feu. Identifiant la position de l´ennemie grâce à sa réponse, il la lançât dans la direction de la voie. La voie ricanante lui fit savoir qu´elle ne craignait pas le feu. Barlog prit donc son bâton à deux mains, et s´apprêtât à frapper la créature menaçante, quand il entendit un bruissement sur sa gauche, indiquant que la créature avait changé de place.
« -Tu ne peux pas me voir, je suis imprenable. Et comme tu as voulut me tuer, tu ne ressortira pas de cette pièce vivante.
-C´est ce qu´on va voir ! » Un peu décontenancé car la voie venait toujours du même endroit, il décidât quand même de frapper en direction du bruissement. Au moment où il abaissât son arme, il se prit les pieds dans un coffre en bois et tombât comme une masse. Cependant, le coup donné n´en fut que plus puissant, et la créature â€"qui était un autre gobelin- fut tuée sur le coup. Les ténèbres s´estompèrent et Barlog vit tout un réseau de fils de fer enchantés, transmettant le son d´un côté à un autre. Il ouvrit le coffre, et trouvât un petit papier qui disait ces mots :
« Ce que vous chercher, vous auriez pu déjà le trouver. Ce que vous avez trouvé, vous auriez mieux fait de ne jamais le découvrir. Bonne chance et à tout de suite au paradis. »
Légèrement effrayer, Barlog se souvint d´une phrase que disait souvent Narril : « Quoi que soit ce qui a sous tes yeux, ne te laisse pas avoir par le sens des mots et lit entre les lignes. Ignore les menaces de mort, sauf si elles viennent de quelqu´un que tu connaît et qui est plus puissant »
Barlog en déduit donc que ce qu´il cherchait était la clef de fer, qu´elle aurait déjà peut âtre en sa possession, et que ce qui l´attend, il devrait s´en méfier. Il retournât donc dans la pièce aux gobelins et fouillât le chef. En effet, il trouva la clef de fer. Tout à coup, le chef se réanimât, es yeux injectés de sang, la bave aux lèvres. Sans se laisser effrayer, il donnât un grand coup de bâton dans la tête du gobelin, ce qui le tuât définitivement. Barlog courût vite retrouver Kass-Krân et le délivra. Il décida, après avoir pactiser avec lui, de continuer l´exploration des pièces.
Ils rentrèrent dans la pièce qui suivait celle du coffre, et se retrouvât dans le couloir. Il en conclu donc logiquement que toutes les pièces avaient été visitées. Il vit une cage électrostatique sur sa gauche, et aperçût le cerbère à l´intérieur. Thulé, qui avait sympathisé avec lui, se précipita à l´intérieur de la cage, put rentrer, mais se fit électrocuter quand il voulut ressortir.
« -Tiens, lui aussi c´est fait avoir ?
-Qui est cette femme Barlog ? Je peux la tuer ?
-Je te le déconseille, il s´agit de Narril, une puissante druidesse qui m´a `embauché´
-Cool, tu t´es fait un nouvel ami ?
-Ouais, et pas des moindre ! Je te présente Kass-Krân, demi orque barbare. Mais je vois que tu es montée de deux niveaux !
-Et toi ? Aucun ? Bon, finit les tergiversations et continuons. J´ai remarquée une pièce dans laquelle vous pourriez monter d´au moins un niveau…
-C´est quoi ? C´est quoi ?
-Un djinn de lave… »
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