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| Auteur | Message |
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Skyline
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 4/12/2018 à 23:56 |
Toujours une certaine rancoeur contre les femmes apportant un plaisir intime contre de la monnaie. |
zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 4/12/2018 à 23:59 |
Oui mais si t'as pas payé c'est que t'es dans une autre catégorie. Sal*pe. |
Polux999
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 31/12/2018 à 19:48 |
J'ai la haine contre la sncf. Je suis arrivé à la gare pour prendre un train à 16h45 qui a été supprimé. Du coup j'ai dû attendre deux heures pour prendre le train suivant. Train qui a démarre une demi heure après le départ prévu. Train qui vient de s'arrêter sur la voie pour une durée de 30 à 40 min. Sachant quil reste 20 min de trajet jusqu'à mon arrêt et que de la gare à chez mes parents il y a à peu près une demi heure de route, j'arriverai donc chez moi dans a peu près une heure et demie. Je passais déjà des vacances de merde sous mes dossiers à rendre mais là c'est le summum. 2018 m'aura faut chier jusqu'au bout. |
Pasteur Zeud
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 31/12/2018 à 19:59 |
J’espère pour toi que ce n’est que le prologue de ce qui va t’arriver en 2019. :) |
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Polux999
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 31/12/2018 à 20:02 |
Euh merci ? Par prologue tu veux dire que ça s'améliorera après ou que ce n'est que le début des emmerdes ? C'est déroutant mdr. |
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Pasteur Zeud
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 31/12/2018 à 20:35 |
À ton avis ? :mrgreen: |
Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 1/1/2019 à 00:33 |
C'est de Pasteur Zeud dont on parle, c'est donc très clair : il te souhaite des embrouilles. |
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Polux999
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 3/1/2019 à 01:54 |
Me voilà rassuré, pendant un instant j'ai cru qu'il y avait encore de l'espoir pour ce monde. |
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Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 3/1/2019 à 07:28 |
N'aie aucune crainte à ce sujet. |
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libégon15
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 18/2/2019 à 22:02 |
IL n'y a pas, à ma connaissance, de topic déprime, alors me voici... Actuellement, je hais ma vie. Ça fait une semaine que ça dure et comme c'est long, je vais diviser ça en jour et les mettre sous spoil. [quote=Polux]Donnez nous du sale, du glauque, des larmes, des disputes on veut tout savoir [strike]pour manger du popcorn[/strike] pour vous aider au mieux ![/quote] Ok mais attention à l'overdose de pop-corn. L'auteur a tout écrit en français mais, bien entendu, dans les faits cela s'est passé en anglais. L’auteur s’excuse par avance des fautes d’orthographe, syntaxe et autre qui jalonneront votre lecture. Il s’excuse aussi pour la mise en page mais n’a clairement pas le moral pour ça. L’auteur a essayé (il a bien dit essayé) d’y insuffler un peu d’humour sachant que cela ne fut pas sans peine vu ce qu’il lui est arrivé. Merci de vous montrer compréhensif et de sourire au moins une fois pendant cette lecture. Si ce n’est pas pour l’auteur, faites-le au moins pour les bébés phoques en faisant semblant que c’est pour l’auteur. Bien à vous, ~Un auteur très très très déprimé. Samedi dernier (le 9 Février) , j'étais hyper joyeux, le lendemain fut une journée de m#rde, la première d’une looongue série. Pardon pas une journée de m#rde, un [i]dimanche[/i] de m#rde, la nuance est importante. [spoil=[g]Épisode 1 : Samedi, le calme avant la tempête.[/g]] Samedi, je reviens au Cap (j'ai pris l'avion depuis Port Elizabeth), fait surprenant, je me sens confiant par rapport aux deux projets sur lesquels je travaille en parallèle. Je me dis que j'ai juste à réduire en poudre une quarantaine d'échantillon. J'ai retenu la leçon par rapport à la dernière fois où j'avais dû casser mes échantillons pendant les "vacances de Noël", mes échantillons sont d'une taille raisonnable. Et puis j'ai 17 lames minces à décrire mais je me dis que ça va aller. J'arrive à l'aéroport, mon patron m'attend et m'annonce que le broyeur (pour faire les poudres) part mardi. Étonné, je lui demande pourquoi. Il me répond que le broyeur ne lui appartient pas, c'est juste un "prêt" et comme il vont bientôt changer de locaux, il revient à ses propriétaires légitimes. Bon ok.... Mon patron me dépose à la colloc’ où je loge et je lui donne un sachet contenant mes lames minces, la séparation aux minéraux lourds et les lames minces commandées par ce dernier. J'entre, les plaques et le four ne marche plus.... Ils seront heureusement "réparés" vers 21h, trop tard, j'aurais déjà pris un repas tout préparé, ce dont je ne suis pas fan mais devant la nécessité... Je dis "réparés" car il suffisait juste de regarder le disjoncteur car c'était juste le plomb qui avait sauté.... Comme c'était comme ça depuis hier, je pensais que mes colloc' avaient déjà regardé (d'autant plus qu'ils sont arrivés à court d'électricité en mon absence... en autres conneries, à croire que quand je ne suis pas là ils ne savent plus quoi faire mais bref). Or c'est le proprio lui-même qui est venu "réparer" ça et bien entendu, c'est moi qui l'ai reçu donc j'ai eu l'air con quand il a regardé le disjoncteur. [i][g]Résumé de l'épisode 1[/g][/i] : J'ai une quarantaine de poudre à faire en deux jours (dimanche et lundi), le proprio me prend pour un imbécile. Conclusion: je vais devoir travailler ce dimanche (et hop! Un nouveau week-end qui dégage!). [plus]MAIS[/plus], je suis heureux, je ne sais pas pourquoi, peut-être la perspective de dater les zircons, de faire des analyses géochimiques dans ces roches volcaniques vieilles de 180Ma et, dans les deux cas, être parmi les premiers à le faire! Oh, j'oubliai, j'ai fait un Role-play papier jusqu'à 2h30 du mat. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 2 : Dimanche, le début du cauchemar.[/g]] Ainsi, je me réveille le lende... bah non, le jour-même à 7h45. J'avoue que je suis plus lent que d'habitude (peut-être à cause du role-play d’hier/ce matin ?) et que j'attends une bonne quinzaine de minute le bus. J'arrive au boulot (où il n'y a personne) à 10h15. [i]Petit aparté pour comprendre[/i] : Pour rentrer dans le bâtiment le dimanche, il faut une clé magnétique. En semaine, il n’y a pas de souci puisqu’il y a un gardien à l’entrée et donc celle-ci est toujours ouverte jusqu’à 17h. Une fois à l’intérieur, je n’ai plus qu’à taper mon code devant la porte du labo au 6e étage pour rentrer. L’accès au parking se fait à l’aide du code également mais par une autre porte qui conduit à une autre partie du bâtiment Sachant que je ne pourrais pas, faut pas rêver, faire toutes les poudres en deux jours, je donne la priorité à certains (les plus dures/plus volumineux) et je ferai les autres au marteau puis au pilon. Malgré cela, je suis quand même obligé de réduire un peu mes échantillons au marteau. Pour ce faire, vu que ce n'est pas permis de le faire à l'intérieur, je vais comme d'habitude les casser dans le parking à l'endroit "prévu" à cet effet. Je casse bien mes petits échantillons, puis je reviens à la porte du labo. Il est 11h30 env. Je sais que cette porte est hyper chiante à ouvrir et vu que ça fait un moment que je ne l'ai plus ouverte, j'ai beaucoup de mal à l'ouvrir. [center]Vous le sentez venir que la porte va me poser un [g]ÉNORME[/g] problème?[/center] Et bien oui, je ne parviens pas à l'ouvrir. Me voila dans le parking de l'immeuble. Mes options sont limitées : sortir (mais je ne pourrais que rerentrer dans le parking donc ça m'avance pas), continuer de tenter ma chance avec cette porte ou prier pour trouver quelqu'un dans le parking en ce beau dimanche. Je tente d'abord la deuxième option, sans résultat. Mais "pourquoi donc je ne ne pourrais que rerentrer dans le parking" me diriez-vous? Comme je l’ai dit, la porte d’entrée nécessite la clé magnétique pour être ouverte (on parle bien de moi là , pas de la soluce d’un jeux vidéo) or, toutes, j’ai bien dit **toutes**, mes affaires sont restées dans les bureaux : téléphone, portefeuille, porte-monnaie, gourde, clés et clés magnétiques, tout tout tout et archi-tout. Donc, si je ressors du parking pour aller dehors je ne pourrais pas rentrer côté "bureau" de l’immeuble mais uniquement côté parking, retour au point de départ. -_- Bon… j’opte pour la troisième option en me baladant dans le parking, je suis au dernier étage du parking donc je descends. J’espère secrètement qu’un gardien est à l’entrée du parking, après tout, j’ai vu (pendant que je cassais mes échantillons, donc avant de me rendre compte que j’étais coincé) une voiture descendre (et donc très probablement sortir du parking). Arrivée en bas (en ayant testé la porte du 5e si jamais elle était ouverte), aucun gardien, le guichet est vide et rien n’augure qu’une voiture se présentera sous peu… Bon super… je commence à avoir soif, il est 14h, il fait chaud, les rayons du soleil bombardent d’UV, de visible, et d’infrarouge la ville du Cap et je suis à 1h30/2h de la colloc’ où je crêche à pied. [g]Le tout sans rien sur moi d’utile. [/g] Je me dis que si je ne trouve pas très vite une solution, je suis dans la m.. panade… En désespoir de cause, je tente les portes du premier étage, il n’y en a pas. Du deuxième étage, après un coup sec, la porte de droite (détail inutile mais je m’en souviens alors je partage) s’ouvre. Youpi, je viens de m’introduire illégalement dans une propriété en Afrique du Sud mais pas le temps de réfléchir posément à cela. Je cherche un moyen de rejoindre l’escalier et, par la même occasion, l’accès au côté « bureau » de l’immeuble. Il s’agit de l’étage en travaux et, en donnant un coup sec sur chacune des portes, je finis par tomber sur une porte qui mène sur l’escalier principal ! Ô joie immense, Ô bonheur incommensurable, Ô félicité retrouvée que de fouler de nouveau ces marches que chaque matin j’emprunte. Ô allégresse que de.. et puis f*ck, pas le temps, je suis assoiffé ! Je referme bien toutes les portes du deuxième étage puis je gravis les marches 3 par 3 et me retrouve au 6e étage où je tape mon code, ouvre la porte, rentre comme une furie dans les locaux, fonce jusqu’à mon bureau, dégaine ma gourde de son fourreau, l’ouvre puis déverse dans ma bouche son divin breuvage (de l’eau) que j’avale goulûment pour que ce torrent inonde mon gosier sec. Il est 14h30. Ma soif étancher, il est temps de répondre à un deuxième besoin : la faim. Je quitte les bureaux pour aller chercher un wrap à manger. (Je prends toutes mes affaires avec moi). Je reviens 15min plus tard, je mange, je flemmarde (parce que, curieusement, la motivation s’est barrée) et je recommence à bosser à 15h30. [i]Petit apparté[/i] : pour broyer les échantillons, il faut les mettre dans des récipients prévus à cet effet. Il y en a 8 dans le labo [s]mais[/s] 2 sont bien rouillés (genre on ne peut plus rien pour eux : « Heure de la mort, Watson ? » et il manque le couvercle pour un autre (donc inutilisable)). Ainsi, Il y en a 5 vraiment utilisable dans le labo. Je broie les trois échantillons que j’ai castagné ce matin. Mais « pourquoi pas cinq » me diriez-vous ? Mais parce que déjà les cinq sont sales, donc je me fais chier à en nettoyer trois car les deux autres contiennent visiblement encore des échantillons, et [plus][s][g]dans le doute, si jamais c’est important, on ne va les jeter tout de même[/plus][/g][/s] (cette partie de la phrase à son importance pour les prochains épisodes alors je vous conseille de bien la retenir). Il faut savoir que c’est hyyyper loooonnng de nettoyer ces machins, sans entrer dans les détails tu dois faire ça en plusieurs étapes et les sécher de suite sinon ils rouillent, le tout pour éviter de contaminer tes échantillons donc c’est sérieux. Je broie mes trois échantillons. Puis je nettoie les trois que je viens d’utiliser (je commence à prendre conscience que ce cercle se répétera tout au long de ma journée de demain…) puis je vais de nouveau réduire au marteau 3 autres échantillons, mais pas fou, cette fois, j’y vais armer contre cette porte : je la bloque de manière qu’elle reste ouverte, et je vérifie que mon installation marche pour être sûr de mon coup. Je prends mes échantillons et là mes patrons entrent avec deux personnes. J’avais prévenu mes patrons que j’allais travailler ce dimanche (en échange d’un jour de congé cette semaine, pas fou non plus) mais je ne savais pas qu’ils comptaient venir travailler aussi donc je suis surpris. Ils me voient faire ma petite installation pour la porte et me demandent pourquoi je fais ça. Je leur explique que j’ai été bloqué pendant plusieurs heures dans le parking car je n’arrivais pas à ouvrir la porte. Là , l’un des deux me sort : « Tu n’avais pas tes clés avec toi pour ouvrir la porte ? » [i]Ma pensée : Bien sûr que si mais j’ai quand même préféré poireauter dans le parking quelques heures et passer par le deuxième étage en y pénétrant en toute illégalité pour revenir dans les bureaux.[/i] Finalement, j’ai répondu que non, que je pensais que le code suffisait. C’est là que j’ai réalisé que, le Dimanche, le code ne suffisait pas pour ouvrir la porte, qu’il te fallait également la clé… et moi je ne le savais pas. Suite à cela, la motivation, qui commençait à revenir, s’en est retournée à la colloc’ me laissant seul cassé ces trois échantillons. Je les mets dans les récipients les préparent pour les broyer et… c’est tout car toute ma jauge de motivation est vide et parce que je n’ai pas envie de commencer ma journée de demain par la phase « broyage dans le parking ». Il est 17h. Je rentre, sur le chemin, un nécessiteux me demande de l’argent pour manger. Avec son accent et ma journée, j’ai le regard vide et je ne comprends pas la moitié de ce qu’il me dit. Je lui dis non et me détourne de lui. À peine ai-je fini de me détourner de lui pour traverser la rue que celui-ci me crache dessus : « Headshot ! », en plein sur ma gueule côté droit. Là je me bénis d’avoir les cheveux un peu longs car ça m’a bien protégé mine de rien même si une particule a réussi à atteindre ma joue. Je me fige une seconde puis continue ma route, en tant qu’étranger blanc je ne peux [i]rien faire[/i] face à cela et puis pas motiver. Je monte dans le bus pour aller au district où j’habite puis je file sous la douche. Je prépare mon repas, mange, me brosse les dents et me couche (21h) abattu. Et je commence à avoir un peu mal au ventre alors je prends du trimébutine 100mg. [g][i]Résumé Épisode 2[/g][/i]: Je suis resté bloqué 3h dans le parking, je n’ai pu broyer que 3 échantillons (trois autres sont prêts certes mais ils ne sont pas broyés), un mec m’a craché dessus au visage, ma journée de demain va être hyper enrichissante et je commence à être malade. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 3 : Lundi, toujours plus loin...[/g]] Je me réveille à 6h15, pas frais, réveillé à 0h30~ pour aller aux toilettes, je me lève 30 min plus tard et je prends mon petit dèj’ dans la foulée en évitant les aliments « dangereux ». Je me prépare, ajoute du trimébutine dans mon sac, prends le plat que j’avais préparé la veille (le classique « jambon-pâtes des problèmes du bidou »), attrape ma gourde que j’ai préalablement remplie du divin breuvage (de l’eau) et sors de la colloc’. Sur le chemin pour rejoindre l’arrêt de bus, je prends du trimébutine 100mg car je commence à avoir mal au ventre (j’en prendrai 1 toutes les cinq heures), et me rends compte que j’ai un léger mal de tête, tant pis je me dis que ça va passer… il est 8h. Je prends le bus 10 min plus tard, un mec a foutu sa musique à fond, jamais entendu de musique dont le volume est si fort dans le bus jusqu’à aujourd’hui, pile au bon moment… Heureusement il descendra à mi-chemin, mais le mal est fait : mon mal de tête vient d’empirer. J’arrive à 8h45 au bureau, je broie mes trois échantillons préparer la veille puis je commence à nettoyer ces trois récipients. La manager qualité, sécurité, communication, etc. (elle fait un peu du cumul de mandat je trouve mais bref) me demande comment sera ma journée. J’ai beau ne pas être frais (à aucun moment de la journée je ne le serais de toutes façons) je lui réponds que ma journée va se résumer à broyer des échantillons-nettoyer-casser des échantillons-broyer des échantillons-etc. Elle me demande combien je dois en broyer, une trentaine, elle me répond que c’est possible, qu’elle l’a déjà fait et que je peux les broyer cinq par cinq. Je lui réponds que je suis un peu malade et que… pour le moment je fais trois par trois car il y a deux récipients dont je ne suis pas sûr si ce qu’ils contiennent sont des échantillons où s’ils n’ont tout simplement pas été nettoyés. Elle les inspecte et me répond que c’est bon je peux les utiliser. [i]Ma pensée : « Mais nettoyez-les une fois que vous avez fini de vous en servir au lieu de les laisser rouiller b#d#l de m#rd# ! »[/i] Ma réponse : Ok merci je vais pouvoir broyer cinq par cinq mes échantillons maintenant. Et elle d’ajouter, ne t’inquiète pas, [machin] va t’aider à les nettoyer comme cela tu iras plus vite. (Je ne l'ai pas vue de la journée...) Je nettoie ces c#nneries, c’est loong, c’est lourd aussi. Étant malade toute ma capacité intellectuelle est dirigée seulement et uniquement sur la tâche que je fais actuellement (déjà que je suis mono-tâche mais là plus rien n’existe autour). Et le cycle se répète… toute la journée. Malade je suis obligé de faire une pause entre chaque étape et, bien sûr, j’ai ma pause déjeuner + prise médoc’. Mon mal de tête empire au fur de la journée et je sens la fière arrivée et montée durant l’après-midi. Demain, me dis-je, jour de congé avec trimébutine + paracétamol en prime. Vers 15h, mon patron me voit et me dit que finalement ils auront la machine opérationnelle jusqu’au Mercredi. [i]Ma pensée : P#t##n ! T’es en train de me dire que j’aurais pu rester chez moi Dimanche (et donc éviter tout ce qui m’est arrivé) et moins me presser aujourd’hui et les jours suivants ?!![/i] Ma réponse : [i]hochement de tête d’approbation[/i] (plus la force de répondre… ouais, on est seulement lundi et j’ai déjà abandonné). Euh, [insérer prénom de mon patron], je suis un peu malade (bon en fait beaucoup mais bref) puis-je finir vers 16h. Oui, bien sûr, aucun problème me répond-il. [i]Ma pensée : Merci ![/i] Ma réponse : Merci. (pas la force pour le point d’exclamation) 15 minutes plus tard, la manager je-fais-tout me demande où j’en suis dans mes échantillons. [i]Ma pensée : J’en suis à : avoir mal au ventre quoi que je fasse, voir les feuilles de papiers dansés grâce à la fièvre, parler avec mes échantillons, avoir du mal à marcher avec les courbatures qui me prennent subitement mais sinon tout est super génial, un vie est un enfer ![/i] Ma réponse : J’ai broyé 13 échantillons depuis ce matin. [i]silence de deux secondes[/i] Allez, tu peux accélérer un peu plus ? [i]Ma pensée : O.O J’ai bien entendu là ?![/i] Ma réponse : o.o ( vu que je étais comme ceci : (-_-), en comparaison j’ouvrais vachement grand les yeux quand même) Euh j’en ai cinq autres de prévu là … C’est bien, essaie d’accélérer encore un peu, d’accord ? 😊 [i]Ma pensée : O.o Oui, j’ai bien entendu p#t##n ![/i] Ma réponse : je vais essayer… Super !, et elle retourne bosser. Et moi aussi car je dois le faire et puis je suis actuellement à l’état de larve alors bon… Finalement, j’en broie 6 et c’est tout, je les nettoierai demain (vu qu’il me reste plus que 10 échantillons à broyer et que la machine sera encore là , je vais les faire demain et je prendrai ma journée de repos après-demain) Je pars du bureau, il est 16h50 ( c’est pas 16h mais c’est toujours mieux que d’habitude, à savoir 17h20… j’essaie de rester optimiste ce qui est suffisamment rare pour être souligné). Je vais jusqu’au bus et m’assoie dans celui-ci de plus en plus fiévreux et avec un mal de tête grandissant depuis ce matin. La femme à côté de moi n’a pas l’air d’écouter de la musique, excellent. On reste à l’arrêt à la gare routière quelques minutes puis le bus démarre, à ce moment précis, la femme à côté commence à regarder une vidéo avec le son bien fort histoire qu’on puisse tous en profiter. C’est bien ma veine…mais c’est loin d’être terminé. En temps normal, le trajet du centre-ville vers Observatory (le district où je vis) dure entre 20 et 30 minutes. On a mis 1h15. Une p#ut##n d’heure et quinze f#uck#ng minutes. Il y avait une panne de courant dans une partie de la ville, les feux tricolores ne marchaient plus et la rue étaient bondée de monde ! À mi-chemin, je me tourne vers la femme à côté de moi et lui jette un regard noir (ou, vu mon état, un regard qui signifie « je vais mourir, s’il vous plaît laissez-moi au moins mourir en paix, éteignez votre portable ou, à la rigueur, baisser le son, pitiééé ! »). Et le pire, c’est que ça marche ! Elle baisse le son, puis finit par arrêter de regarder des vidéos pour essayer de dormir. De toutes façons, à chaque fois que je quitte plus tôt, il y a toujours un problème… Mais bref. Je passe vite fait au magasin pour acheter du jambon puis je file à la colloc’ pour me préparer des pâtes au jambon (pour changer). Je prends un doliprane mais, avec la fièvre et le temps qu’il fasse effet, C’est la fête !, les pâtes, les casseroles, les assiettes et les fourchettes dansent et chantent ! Après cela et une douche, je me couche. [g][i]Résumé de l’épisode3[/g][/i] : J’ai broyé 19 échantillons, ce qui est bien, je me suis préparer des pâtes-jambon, ce qui est bien mais pas top, je n’ai pas de chance avec le bus, ce qui n’est pas génial, et je suis de plus en plus malade, ce qui n’est pas bon du tout. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 4 : Mardi : Toujours plus haut[/g]] Je me réveille une première fois vers 5h. Je me réveille de nouveau à 6h45 (j’ai légèrement décalé mon réveil) et me lève 15 minutes plus tard. Je fais tout comme hier mais cette fois-ci, je prends mon doliprane en plus avec moi. Pas de problème dans le bus, j’arrive au boulot à 9h15. Aller, j’ai que 10 échantillons à faire. Je nettoie, pause, je concasse au marteau, je les mets dans les récipients que je dépose dans le labo (Tiens, ça sent bizarre dans le labo, non ?), pause, il est 10h30. ET là , problème dans le laboratoire ! La manager je-fais-tout va voir, elle revient 2 minutes plus tard : « Interdiction d’aller dans le labo jusqu’à nouvel ordre ! » (Il faudra donc attendre l’épisode 7, car dans le 6 c’est encore l‘Empire. [i]Oups ce mauvais jeu de mot m’a échappé[/i]) Super… me voila à attendre puisque je ne peux rien faire de plus… dans les deux cas j’ai besoin de quelque chose qui se trouve dans le labo… Il faudra attendre 15h pour que le laboratoire soit complètement sécurisé… J’aurais [s]vraiment[/s] dû rester chez moi aujourd’hui… Vers 16h alors que je vais vers mon bureau pour m’y asseoir, la manager je-fais-tout m’interpelle pour me demander où j’en suis. [i]Ma pensée : … (peux plus penser…)[/i] Ma réponse : je suis malade, je fais une petite pause et il ne me reste plus que 5 échantillons à broyer et j’ai fini. Sa réponse : « Ah tu es malade ? » Ce à quoi [i]Ma pensée réponds : Oui, ça se voit pas ?[/i], je réponds : Oui, depuis hier. "Ah mais je ne savais pas!" [i]Ma pensée : … [/i] Ma réponse : … [moins][i]Notez que c'est la première fois que ma pensée (inexistante) rejoint ma réponse (inexistante)[/moins][/i] Je vais donc broyer mes échantillons, sur le chemin (que je fais tel un zigzaton proche du KO) je croise mon boss qui me demande, lui aussi, où j’en suis. Je lui dis que je n’ai plus que ces 5 échantillons et c’est fini. Il me demande combien ça m’en fera au total, je lui réponds une trentaine (32 pour être exact). Ce à quoi il me répond bien joué, j’enchaine en lui disant que je ne viendrai pas demain car jour de repos (vu que j’ai bossé ce dimanche) + malade. Il me dit aucun problème puis repart vaquer à ses occupations. Ainsi, je broie mes 5 derniers échantillons qui doivent absolument passer par la machine (les 11 autres peuvent être fait à la main dont 4 qui doivent [s]absolument[/s] être broyé à la main) puis je nettoie les récipients (oui, même malade il faut montrer l’exemple). Je repasse à mon bureau pour me reposer un peu et prendre mes affaires pour partir sous peu. En partant, je salue tout le monde, en saluant mes boss, ceux-ci me disent que je ne peux revenir que vendredi si je veux car le jeudi des personnes viennent embarquer pas mal d’équipement et donc ça sera un peu n’importe quoi dans le bureau. Cool ! Bon, je ne me fais aucune illusion, je serai malade ces deux jours mais, au moins, je pourrais bien me soigner et me reposer. J’arrive dans le bus, j’indique où je vais (car le tarif est différent selon où tu vas) « Observatory » et là le mec me sort « Où à Observatory ? » Première fois qu'on me demande de préciser. [i]Ma pensée : Mais c’est le même tarif quelque soit l’arrêt à Observatory alors me fais pas ch##r, purée ![/i] Ma réponse : Groote Schuur (c’est le bâtiment (et hôpital accessoirement) le plus visible). Il encaisse mon argent et me tend un ticket en me gueulant « Y’a un bus pour toi au lieu de prendre celui-ci, mec ! » [i]Ma pensée : Je paie me fait pas ch##r, en plus vous êtes le seul parmi tous vous collègues que ça a l’air de gêner, bon sang ![/i] Ma réponse : [i]Je trouve un place assise et je m’y assois.[/i] Le regard vide, un mal de tête, fièvreux, je suis soudain sorti de mes pensées inexistantes par une femme qui me demande si, d’après moi, mon arrêt est avant le sien. Je suis réponds que c’est très probable et donc je fais en sorte qu’elle se mette à ma droite pour que je puisse sortir par l’allée centrale. Première fois qu’une personne me demande ça, ce qui est sympa, depuis que je suis en Afrique du Sud. Malgré ma fièvre, je sais reconnaître une personne fort sympathique (surtout quand c’est aussi rare) donc je fais un gros effort : je lui dis merci et que c’est rare qu’une personne demande cela dans les bus ici. [g]Grave erreur de ma part…[/g] Elle me réponds « De rien , c’est normal. Vous savez… » Et elle commence à partir dans un monologue. S’interrompant de temps à autre pour me poser des questions. Je réponds très succinctement aux questions et elle enchaine… Bigre, pour une fois que je tombe sur une personne sympa, il faut ce soit le jour où je suis [s]le plus mal[/s] depuis mon arrivée… Mon niveau d’anglais est moyen mais là , entre la fièvre, le mal de tête, cette faiblesse généralisée de mon corps, les bruits de circulations et de vie urbaine du Cap, et Ursula (c’est son prénom) qui ne parle pas très fort… je crois n’avoir pu saisir que 20% de ce qu’elle disait. Et puis c’était long car, comme hier, le bus a mis 1h et quelques pour arriver… Le pire c’est que je crois qu’Ursula n’a jamais remarqué à quel point j’étais mal. Enfin bref, la suite est classique, jambon pâte, douche, dodo. [g][i]Résumé épisode 4[/g][/i] : J’ai fini de broyer les échantillons, youpi. Pour une fois que je rencontre une personne sympa, je ne suis pas en état, c’est moche. Je vais de plus en plus mal, c’est vraiment pas bon. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 5 : Mercredi, Toujours plus fort ![/g]] Je me réveille durant la nuit vers 23h30 puis 3h30, classique. Malade toute la journée et jambon-pâtes le midi. Je ne mange pas le soir. [g][i]Résumé épisode 5[/g][/i]: je ne pense pas qu’il soit utile celui-ci… [/spoil] [spoil=[g]Épisode 6 : Jeudi, Vers le mieux ?[/g]] Je me réveille une fois cette nuit. Je mange jambon-pâtes le midi (je commence à saturer…) et pâtes-viandes hachées bien cuites le soir. Ça fait du bien de changer du classique « jambon-pâtes des problèmes du bidou ». Je me sens mieux. [g][i]Résumé épisode 6[/g][/i] : Celui-ci non plus mais dans le doute : Je vais mieux et j’arrive à manger autre chose que du jambon-pâtes. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 7 : Vendredi, L’Apothéose[/g]] Je me réveille à 6h35, et me lève 5 min plus tard. Je ne me suis même pas réveillé cette nuit, je vais clairement mieux. Tiens ? Serait-ce la motivation que je sens revenir ? Je vais au boulot en prenant juste l’ercéfuryl, le trimébutine mais pas le doliprane (la fièvre revient à partir de 18h, je serai rentré d’ici là ), j’arrive à 8h15 et je vois le sachet contenant mes lames minces, la séparation aux minéraux lourds et les lames minces commandées par ce dernier que je lui ai donné Samedi dernier mais il ne contient que mes lames minces, je me dit que je lui demanderai où est le reste. Ainsi, je m’attelle à broyer mes échantillons à la main. J’avance doucement mais surement, les échantillons sont plus durs que prévu. Je change de main de temps à autre ce qui fait que je commence à avoir une zone rouge et légèrement douloureuse au milieu de la paume de mes mains. Super, avec mes cheveux mi-long, et ça, il suffit que je tendent mes bras de chaque côté et on dirait Jésus. Pause déjeuner vers 13h. Voyant mon boss, je lui demande où se trouve ma séparation au minéraux lourd et mes zircons à dater. Il me dit qu’il a passé le sac à sa femme (qui est également ma boss) pour qu’elle récupère ses lames minces. Ok il faudra que je lui demande. Deux échantillons broyés plus tard, il est l’heure de partir voir les nouveaux locaux car le labo va bientôt déménager. Vu que ma boss est là , je lui demande à propos de mes zircons, elle me dit qu’elle n’a pris que ses lames minces. Puis elle réfléchit quelques instants et me sort qu’elle a aussi jeté des sachets qui lui semblaient vide. [center][plus][i]Ma pensée : [g]YOU WHAT ???[/g][/i] Ma réaction : [g]YOU WHAT[/g] ???[/center][/plus] (Là encore, bonne synchronisation entre ma pensée et ma réaction) Je commence à lui faire l’inventaire de ce qu’il y avait dans le gros sachet pour savoir ce qu’elle a jeté. Je lui demande également quand est-ce que ça s’est passé. Elle me dit Lundi. [i]Ma pensée : Lundi ! Et c’est seulement maintenant que je suis au courant ![/i] Ma réaction : Lundi ! (admirez ce superbe self control car c’est ma boss tout de même) Mais on cherchera plus tard mes zircons, grenats et béryls car il est vraiment temps de voir les nouveaux locaux. Autant/Au temps le dire tout de suite, je n’avais *que* mes zircons en tête. Donc on va passer vite fait au passage où l’on revient aux bureaux actuels pour « chercher » tout ça. « chercher » car je vais fouiller le 4x4, et le reste ce sera surtout du « je refais le chemin » de la part de ma boss. Pendant tout ce temps, la motivation, l’envie et l’espoir sont déjà partis au Venezuela. Mes zircons, grenats et béryls ne seront jamais retrouvés, ils ont été jetés à la poubelle par ma boss ce lundi et les poubelles ont été vidées. Comble de la déchéance, ma boss commence à pester en disant que si elle a fait ça c’est à cause des bureaux mal rangés, on aurait dit une gamine qui cherche des excuses. [i]Ma pensée : Quel droit avais-tu de jeter [g]quoi que ce soit[/g] se trouvant dans ce sachet ?![/i] Ma réaction : … (je suis sans voix, abattu, la motivation, l’envie et l’espoir se sont déplacés dans les îles Galapagos car le Venezuela n’était pas assez éloigné) Mon boss me dit alors que ça lui a fait la même ainsi qu’à ma boss pour leur masters respectifs et que la leçon a tiré est que, [g]concernant tes échantillons, ne fait confiance à personne d’autre qu’à toi-même.[/g] Maigre réconfort… On fait alors un point rapide sur mes deux projets qui constitueront mon mémoire de fin d’étude et notamment celui lié à mon terrain volcanique dans le Drakensberg (des photos suivront bientôt… quand la motivation, l’envie et l’espoir seront revenus de leur tour du monde). Ça a l’air de bien les intéresser mais j’avoue que mes pensées sont ailleurs… Et je commence à avoir de la fièvre il est… 18h tiens donc. Je pars à 19h avec mes patrons qui acceptent de me déposer chez moi. Je me prépare à manger et prend un doliprane, mes 2 colloc’ sentent que ce n’est pas la joie. L’une d’elles, me dit que sa journée était pourrie, je lui dis que ça peut difficilement être pire que la mienne mais elle insiste. Je lui raconte ma journée, elle me raconte la sienne, égalité, j’enchaine avec toute ma semaine, gagnant par KO. Je mange, puis file sous la douche histoire de pleurer un coup mais la douche ne fonctionne pas correctement et hors de question de souiller ma chambre avec de la tristesse supplémentaire, donc je ravale mes larmes et je vais dormir. [g][i]Résumé de l’épisode 7[/g][/i] : Clike ici pour voar com c trist: https://postimg.cc/NKynFXtr RT si t trist. Je ne peux même pas pleurer sous ma douche car elle ne marche pas bien et les seuls points "positifs" de ma semaine auront été de gagner à un jeu où le but est d’avoir la pire semaine et de pouvoir imiter (un peu mieux) Jésus. J’ai envie de brûler le monde puis de me pendre dans la foulée. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 8 : Samedi, Convalescence tranquille ?[/g]] Je commence la rédaction de mes mémoires. Je voulais toujours tuer des chatons et le monde entier et puis des gamins ont commencé à brailler et maintenant je veux juste étriper ces gamins qui ont braillés tout l’après-midi. Y’a du mieux ? [g][i]Résumé de l’épisode 8[/g][/i] : Pour répondre à la question posée dans le titre, non. [/spoil] [spoil=[g]Épisode 9 : Dimanche, Et maintenant, c’est plus tranquille ?[/g]] Oui, j’ai tué ces gamins pendant la nuit... durant mon rêve. La journée était plus tranquille, pas un chat sauf celui de la colloc’ (lol...) qui me fait tout le temps ch##r, classique quoi… J’ai fait le ménage et fini la rédaction de la partie liée à ces évènements dans mon mémoire. (Enfin, le croyait-il mwouahaha !) [i][g]Résumé de l’épisode 9[/g][/i] : Pour répondre à la question : Oui, la motivation, l’envie et l’espoir reviennent de leur tour du monde mercredi ou jeudi prochain me semble-t-il. Mais ce n’est pas grave, je me suis fait une amie, la cuillère en bois que j’utilise pour cuisiner est la seule chose qui ne m’ait jamais déçu ici. [/spoil] [spoil=[g]Saison 2, Épisode 1 : Lundi, Une nouvelle semaine.[/g]] Ce matin, [strike]un lapin, a tué[/strike] mon cerveau ne voulait visiblement pas que je commence la journée, voire même, ne voulait tout simplement pas de cette journée : « Une nouvelle journée pourrie, sans façon, débrouille-toi tout seul ! » Je me réveille 30 minutes après mon réveil et me lève dans la foulée, il est 6h30. Le reste de ma journée s’est passé dans une sorte de brouillard, j’avais une motivation négative c’est-à -dire qu’aujourd’hui : c’est mon inconscient qui a tout fait. J’ai fait des choses sans m’en apercevoir tout au long de la journée. J’avais le regard vide, les yeux mi-clos (c’est pas moi qui le dit, c’est le miroir situé dans les toilettes) un anti-sourire, le dos vouté, bref, ça se voyait à 3 km que je pétais la forme. Pourtant j’ai bu du Ricoffee mais rien n’y fait, [strike]la pluie[/strike] le brouillard ne m’a pas lâché. Je me souviens vaguement que dans le bus une personne prêchait quelque chose (désolé, je ne parle ni zoulou, ni ses dialectes qui sont au nombre de deux en Afrique du Sud… mais dans le même temps je me dis que c’était peut-être bien de ne pas saisir ce qu’elle disait). Une personne nous a été présentée ce matin au boulot par la manager je-fais-tout qui a l’air de bien la connaître, je ne me souviens plus de son nom. Pause déjeuner à 13h, et là , petit coup de p#t # de la journée ! Ah, vous l’attendiez celui-là , pas vrai ? Je m’installe à mon bureau pour manger et la manager me hèle (il faut bien ça pour que ma conscience se réveille). [i]Ma pensée : Pardon ?[/i] Ma réaction : Humpf ? « Tu sais là , le truc qu’on a cherché hier là … Tes minéraux… Oui voila, tes zircons ? [i]Ma pensée : Tu veux dire les minéraux que je chérissais que tu as vu se faire jeter à la poubelle et que j’essaye d’oublier pour faire mon deuil ?![/i] Ma réaction : Humpf !? (Comme je l’ai dit, motivation négative, déprime, etc.) « Et bien machin (je me souviens plus de son nom) elle en a aussi ! - Oui, je fais de la datation pour mon doctorat ! » [i]Ma pensée : C’est une blague ? Dites-moi que c’est une blague ! Ça te plaît de remuer le couteau dans la plaie, c’est ça ?![/i] Ma réaction : [i]après une seconde[/i] Bon à savoir. Le reste de la journée c’était pareil : brouillard complet. Par contre je quitte vachement tard du boulot, j’arrive tard à la colloc’ et là : deux nouveaux (un couple). Je me fais à manger. Au fur et à mesure, je suis de moins en moins attentif… Pendant que je prépare ça le mec se présente à ma droite: « Bonjour, Steph’(je crois que c’est ça). Ravi de te rencontrer ! » [i]Ma pensée : Étape 1 : Tourner la tête vers lui et esquisser un sourire (on ne te demande pas de « faire un sourire » parce que, vu où tu en es, on va pas trop t'en demander non plus), Étape 2 dire : Libégon, Ravi de te rencontrer. (sans point d’exclamation, là encore on t’en demande pas trop)[/i] Ma réaction : [i]Mes yeux roulent[/i] (même plus la motivation de les tourner)[i] vers lui[/i], j’esquisse un sourire côté gauche et je dis « Ravi de te rencontrer… » Steph s’en va ensuite sans demander son reste. [i]Ma pensée : 50%, c’est pas mal. Par contre, la prochaine fois, ravale ton esquisse de sourire côté gauche s’il te plaît, j’ai l’impression que tu te fous de moi… donc de ta propre pensée si t’as pas compris, espèce d’idiot.[/i] Ma réaction envers moi-même : Humpf. (Oui, c'est universel) Pendant que je mange, la fille se présente : « emifes, Mnvsk. Fdzlqfh eskgfrjldf ezvbxjd ! [i]Ma pensée : tu m’as prise pour un allemand ou c’est moi ?[/i] Ma réaction : Humpf ? Elle passe en anglais : « Salut, M…. .(j’ai oublié son prénom) Ravi de te rencontrer. » [i]Ma pensée : Bon, vu qu’on sait que tu es plus capable de grand-chose : Étape 1, tourne tes yeux vers elle, Étape 2 : Libégon, ravi de te rencontrer.[/i] Ma réaction : [i]Mes yeux se tournent à moitié[/i] et je dit : « Ravi de te rencontrer… » Elle s’en va vaquer à ses occupations. [i]Ma pensée : Encore 50%... Et aucun des deux ne connait ton prénom, chapeau bas ![/i] Me semble qu’à un moment, elle me demande le code du wifi, une première fois en allemand (c’est qu’elle insiste ma parole), et trois autres fois en anglais (il faut bien qu’elle se réveille enfin ma conscience) puis je lui communique tout ça. Depuis ma conscience est réveillée… je vais aller me coucher . [g][i]Résumé de l’épisode 1 de la saison 2[/g][/i] : Brouillard Ricoffee Brouillard Coup de p#t# Brouillard Des nouveaux Brouillard Hein ? Comment ça le wifi ? Je vais aller dormir. [/spoil] [spoil=[g]Bonus[/g]] 1) Le fichier word fait (pour le moment) 14 pages et s’appelle : 2019_01_16_je_vous_hais_tous 2) Je me suis interrompu pendant la rédaction de cette histoire pour faire le ménage… j’ai cassé le manche du balai. P#t##n ! 3) Cette histoire vous est présentée par Doliprane, Trimébutine et Ercéfuryl, Merci à eux. 4) Quand je pense que je dois toujours finir ma fanfiction pour le concours Let's Go et que je ponds [s]ça[/s]... [/spoil] |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 08:19 |
Eh beh... Rester enfermé dehors et les échantillons jetés sont clairement les pires ! Et puis c'est un peu une accumulation... T'aurais pas été malade par exemple ça irait mieux ! :p |
bouh00
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 13:34 |
Et, en plus, t'as posté tout ça en fin de page, la lose ! |
Schnapper
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 16:32 |
Le pire semble passé, tu ne peux que remonter la pente, courage ! Tu rentres quand ? |
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libégon15
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 20:36 |
Le problème a clairement été l'accumulation de tous ces évènements. Pris un à un, "ça va" mais une semaine c'était beaucoup. Et, c'est bon, je ne suis plus malade. Je l'avais même pas remarqué mais oui, bouh, c'est horrible! Ça rajoute encore du pas de chance à l'histoire, on va dire. Maintenant, retour aux problèmes du quotidien: les moustiques et les cafards qui te réveillent en pleine nuit, tes colloc' qui "essaient" de faire la vaisselles (navré mais vu le résultat, je ne peux pas me résoudre à le dire autrement), la partie ennuyeuse du boulot (que je n'avais pas ressenti hier quand j'y pense...). + Un mal de dos qui commence à pointer le bout de son nez. Mais, après cette semaine de l'enfer, ces problèmes paraissent bien insignifiants... vivement quand même le retour au bercail en Mai. |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 20:38 |
Tu peux venir en Suisse en août donc pour une IRL PF ? :) |
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Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/2/2019 à 21:02 |
Disons que ça va difficilement pouvoir être pire que la semaine que tu viens de passer, non ? M'enfin, je comprends que tu aies la haine contre cet enchaînement. |
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bouh00
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 20/2/2019 à 21:30 |
On peut avoir des détails sur les colocataires qui "essaient" de faire la vaisselle ? Ca a l'air rigolo. :$ |
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libégon15
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 20/2/2019 à 21:59 |
Ahaha! Je suis le topic des IRL, tu sais ? Et bien que le programme de l'IRL qui s'annonce m'intéressait énormément (quoique... j'avoue avoir une petite appréhension pour la luge d'été) je ne peux y confirmer ma présence et ceux pour 3 raisons: -La date limite du 31/01/2019 est passée -Vous avez déjà Dark Matteo qui vous accompagne pour "vous faire vivre un cauchemar" selon ses propres dires, donc je serai de trop. -Mais aussi et surtout parce que mon avenir est incertain. (N'y voyez rien de pessimiste). Je ne sais pas où je serai et ce que je ferai en Juin, alors en Août vous pensez bien que c'est encore pire. Mais c'était remarquablement bien tenté zucchina, remarquablement bien :) Va falloir être plus précis dans ta demande bouh car, ayant changé une fois de colloc' car j'en pouvais plus de mes ex-collocataires, je peux fournir des détails sur deux séries de colocataires... Et pour en avoir vu, j'en ai vu (dans les deux)! Mais pour commencer, leur définition de "faire la vaisselle" n'est clairement pas la même que la mienne. La mienne c'est du genre: faire en sorte que ça soit propre. Eux c'est plutôt: faire en sorte que ça soit moins sale. |
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Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 20/2/2019 à 22:01 |
Vu comme ils ont l'air doués avec les coupures de courant, je suspecterais presque la coupure d'eau pourtant annoncée par un panneau dans le hall de l'immeuble :mrgreen: |
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libégon15
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 6/3/2019 à 20:57 |
Suite à quelques rumeurs survenus sur Discord... [center]Vous l'attendiez tous (sauf moi) ! Vous vouliez toujours plus de fun (mais pas moi) ! Betflix vous annonce la prolongation de la saison 2 de la série : [i]Les Malheurs d'un Libégon en Afrique du Sud[/i]![/center] Avec une narration et un scénario toujours plus poussés! Avec pour générique [i]Encore et encore[/i] de Francis Cabrel! Ne loupez surtout pas le nouvel épisode! [spoil=[g]Saison 2 Épisode 2: L'attaque des Fourmis[/g]] Pendant que les collocs, le chats et les problèmes du quotidien recommençaient à monopoliser l'attention de Libégon, une véritable invasion se préparait à l'abri des regards... Les fourmis ont lancé une offensive sur la colloc' depuis trois jours. Vendredi, elles ont réussi à capturer la gamelle du chat. Un sauvetage orchestré par un valeureux mercenaire a parmi de la récupérer in extremis et le chat peut continuer de manger. Ce fut un revers inattendu pour les fourmis mais elle ne comptaient en rester là ... Samedi elles ont fait une percée sur le front Sud-Est. J'ai dû battre en retraite en emportant les ressources stratégiques et sensibles. Ce fut une surprise, les fourmis cohabitaient-elles avec les cafards? Disons qu'on est pris entre le marteau et l'enclume, explique un survivant: les cafards nous harcèlent depuis le sol tandis que les fourmis arrivent par les murs. Pour couronner le tout, les frappes aériennes des moustiques nous obligent à toujours rester sur la défensive. Et pendant ce temps-là , il y a des limaces qui passent dans ma chambre... Je ne sais toujours pas pourquoi. Celui que les soldats commençait à appeler Azrael continuait lui aussi à harceler les troupes: beaucoup se demandait s'il y avait une astuce pour qu'un chat arrête de t'aimer sans être méchant envers lui? "Parce qu'il arrête pas de gueuler comme un putois (traduction: miauler bien fort) jusqu'à ce que je l'accompagne jusqu'à ses croquettes alors qu'il pourrait y aller tout seul, et cela, plusieurs fois dans la journée. Et le pire, c'est que si je m'arrête en chemin (c'est à dire si je ne vais pas jusqu'aux croquettes) il m'attend et continue à me miauler dessus.", murmure, la voix brisée, un soldat. On est attaqué de toute part, témoigne un médecin, et l'État-major suspecte les quelques rares limaces d'être des éclaireuses qui nous espionnent pour préparer leur futur débarquement ajoute-t-elle. Et pourtant on a que le rez-de-chaussée à défendre, nous dit un tacticien, en même temps, ajoute-t-il, les maisons avec un étage ont pas l'air de courir les rues ici. Peut-être à cause du taux d'obésité grandissant...? La Blitzkrieg mené par les fourmis s'est terminée comme elle avait commencé à la fin de la journée de Samedi. Elle se sont retirées de la cuisine. "Je ne sais pas pourquoi elles avaient envahi la cuisine, et je ne sais pas pourquoi elles repartent mais on voit enfin le bout du tunnel (pour ce problème), dira un soldat visiblement optimiste. La suite lui donnera tort... Les troupes se souviendront longtemps de ce Dimanche, une matinée nimbée de silence, de sérénité, le calme avant la tempête qui se déchainera l'après-midi et durant la nuit. Les fourmis révèlent leur objectif: la poubelle! Elles sont des milliers à avancer en file indienne vers cette place forte. Après quelques escarmouches, il est décidé d'abandonner l'avant-poste à son triste sort, rien n'aurait pu être fait de toute façon. L'État-major a désormais un double objectif pour le lendemain: mener à bien une expédition pour rallier le nouveau lieu de travail (car l'entreprise où je fais mon stage déménage) et trouver un moyen d'endiguer les fourmis. Mais de vieux démons vont venir, une nouvelle fois, contrecarrer les plans d'une nation qui ne sait déjà plus de quoi demain sera fait... [g][i]To be continued[/g][/i] [/spoil] [spoil=Trailer] Il nous faut absolument trouver cette endroit! Mais où sommes-nous? À couvert! Vous voulez dire que plus rien ne fonctionne Johnson? Il nous faut rétablir la situation! J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle... et la mauvaise risque de vous rester en travers de la gorge. [/spoil] Et c'est pas prêt de s'arrêter, youpi! Avec un cross-over de prévu pour montrer ce qui s'est passé entre les épisodes 1 et 2 de la saison 2, Betflix a vu les choses en grand! Deux manières de dire ce que je ressens actuellement: 1) *en pesant chaque mot* J'en ai marre, j'en ai ras-le-bol, j'en peux plus, j'en ai ma claque, j'en ai plus qu'assez, j'en ai juste assez, j'en ai crustacé, j'en ai cétacé, Jean est cétacé, Jean est un cétacé, Jean éteint cétacé, Jean, éteint, c'est assez! Gens, étain, sept aces et? [i]Libégon est confus! Il se blesse dans sa confusion![/i] 2) Je relativise (en douillant). [i][s]Rappel[/i][/s] Il est interdit de télécharger et/ou visionner ces épisodes en dehors de la plateforme Betflix. Tout contrevenant s'expose à un MP d'Hadopi. |
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Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 6/3/2019 à 23:16 |
Tu devrais anticiper ton retour en France, pour ce que j'en pense. Même si je reconnais que cette série est fantastique et qu'il serait dommage de se priver de nouveaux épisodes... |
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libégon15
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 19/3/2019 à 14:29 |
Les épisodes vont arriver avec du retard... parce pfffffffffff ça continue et puis j'ai pas trop le temps d'écrire aussi (et pas trop l'envie également)... Bref, allons-y gaiement. [spoil=[g]Saison 2 Épisode 3: Apprentissage[/g]] Lundi 4 Mars : Les rayons du Soleil ne viendront pas réveiller les résistants ce matin, il pleut. Trois fois rien, certes, mais la couverture nuageuse baisse la luminosité. Après le petit déjeuner, c’est une cellule de crise qui se réunit dans l’espoir de trouver une solution. Les fourmis semblent s’activer toujours autant autour de la poubelle et envoient quelques troupes vers le présentoir où sèchent les assiettes et autres ustensiles [i]censés[/i] être propre. Quand j’ai vu comment s’organisait les autres camps de résistants, j’ai cru avoir affaire à des bouffons, témoignent le lieutenant Sanchez. Ils disaient avoir fait la vaisselle mais pour moi ils avaient juste laissé de la nourriture pour les fourmis, poursuit-il d’un ton cassant. De là à sympathiser avec l’ennemi, il n’y a qu’un pas, finit-il, lourd de sous-entendus. Ainsi, devant l’aide qu’offraient les autres camps de résistants aux fourmis, le mémoire de fin d’étude et le besoin de bosser pour être payé (euh… stagiaire sans rémunération… ah mais oui, attendez, je change ça) et le besoin qu’a notre société d’employer des esclaves tel que moi (oui, c’est plus la réalité là déjà ), l’État-major envoie Libégon en reconnaissance pour chercher le nouveau lieu de travail vers 8h. Les premières recherches effectuées Dimanche avaient permis de convenir d’un itinéraire : l’objectif était de marcher jusqu’au bout de la seconde artère puis de prendre le réseau MyCity Bus jusqu’à un certain arrêt très proche du nouveau bâtiment. À cause de la pluie, un manteau plus adapté est préféré au gilet non imperméable. Marcher sous la pluie n’a jamais été un problème, surtout lorsqu’elle est fine. [center]Mais rien ne se passera comme prévu…[/center] Comme dit un proverbe africain : « To get lost is to learn the way.†(pour ceux qui ne comprennent rien au zulu, ça veut dire : « Se perdre est apprendre le chemin »). Il faut savoir que j’ai beaucoup appris ce jour-là , une véritable éponge dégoulinante de connaissance. Non pas parce que j’étais imbibé de connaissance mais parce j’ai été sous la pluie pendant plusieurs heures… une pluie qui est passée d’un crachin à des cordes… J’ai également découvert que mon manteau n’était pas si imperméable que ça, j’entends par là que j’étais trempé à la fin, et non, ce n’était pas de la transpiration. Mais, pour faire ça dans l’ordre, on commence par moi marchant pendant 40 min jusqu'à un arrêt de bus puis attendant sous la pluie de plus en plus forte un bus qui n’est jamais passé. Ah… le bus qui ne passe pas, l’ingrédient indispensable à toute mauvaise journée qui commence. Au bout de 40 minutes (car je suis patient et je sais que cette compagnie tend à faire grève de temps à autre), je me remets en route en me disant tant pis, je ferai tout à pied. Je n’ai jamais trouvé le bâtiment, et pour cause : je n’étais absolument pas dans le bon district. Ainsi, j’ai tourné en rond sous une pluie torrentielle. À partir d’un moment je me dis fini les conneries, je décide de retourner d’un point que je connais (le centre-ville) puis je prendrai le bon bus donc je fais demi-tour. J’aperçois alors un arrêt MyCity Bus dans l’autre sens (où j’avais vu des bus passés auparavant contrairement au sens où j’ai attendu 40 min…) et m’y rends. Ô chance (moi avoir de la chance, il y a anguille sous roche), c’est un arrêt avec un abri pour la pluie (ce qui est rare). 10 minutes plus tard le bus arrive, je monte dedans et lui demande combien ça me coûte pour aller au centre-ville. Le conducteur me regarde (je pense que je devais avoir une gueule de chien mouillé… et la même odeur si cela se trouve) puis me dit que pour les MyCity Bus, ils ne prennent que la MyCity Card. Je ne le savais pas (pour le moment j’avais toujours pris les bus Golden Arrow) donc me voila contraint de repartir sous la pluie battante (je me disais bien qu’il y avait baleine sous gravillon). Je rejoins, 20 bonnes minutes plus tard, une des artères principales de la ville pour choper un bus Golden Arrow. Après 5 minutes d’attente, le bus arrive, je paie ma place et rouler jeunesse jusqu’au centre-ville. Arrivée au centre-ville (il est 11h), il ne pleut plus, je reste optimiste (et trempé) et me renseigne sur comment aller sur mon lieu de travail avec les bus Golden Arrow… Après une première personne qui me dit de prendre ce bus spécifique, je l’attends puis demande au conducteur si c’est bon pour aller à l’endroit où ce trouve désormais mon boulot. Il me répond alors vivement que non et que je vais devoir prendre le MyCity Bus. OK… Bon, déjà il y a deux compagnies de bus, elles s’entrecroisent dans la ville mais ne vont pas aux mêmes endroits, l’une d’elles a un plan de ces lignes, l’autre non. Cette ville… Ainsi, me voila parti pour aller au « QG » des MyCity Bus pour acheter la carte et la recharger dans la foulée. Un nécessiteux est à côté du guichet et me demande de l’argent, nourriture, etc (le truc classique quoi -loin de moi l’idée de banaliser la chose : ils sont nombreux au Cap, plus généralement en Afrique du Sud, c’est malheureux mais c'est factuel) et je lui réponds non, désolé puis passe à la caisse pour ma carte + rechargement. Ensuite, je vais voir le plan des lignes pour pouvoir y aller sans soucis demain (ouais parce que là , je n’avais plus la motivation, c’est la fin du déménagement et j’ai plein de truc à faire sur mon ordi donc voilà ). Je le regarde longuement car : 1) c’est indiqué nulle part où tu es 2) la carte n’est [i]vraiment pas[/i] à l’échelle, à côté la carte du métro parisien est à l’échelle exacte, 3) Je ne me souvenais plus du nom de ma ligne et 4) je me renseigne en même temps sur l’étendue de ce réseau de bus car, maintenant que j’ai la carte, je pourrais être amené à l’utiliser pour me déplacer en ville. Voyant que je passe du temps sur la carte, le nécessiteux vient vers moi et commence à vouloir m’expliquer comment fonctionne le MyCity Bus, de mon côté, excédé par cette matinée et les semaines précédentes, je lui sors que je peux m’en sortir tout seul et que je n’ai pas besoin de lui pour ça. [center]Il n’a pas apprécié.[/center] Il m’a suivi sur le chemin du retour à la gare routière des Golden Arrow. Me demandant d’abord pourquoi j’étais si méchant (ce à quoi je réponds que j’ai eu une matinée + des journées de m#rde et que c’est pour cela que le ton que j’ai employé était un peu cassant et je m’en excuse), puis de l’argent/de la nourriture (ce à quoi je réponds qu’il perd son temps avec moi). Ensuite, il a attendu le bus avec moi en prenant un air de cocker battu puis il m’a regardé monter dans le bus, enfin, il a observé le bus partir. J’arrive à la colloc’ (vers 12h30), plus d’électricité. Mince, j’avais vu qu’il n’en restait plus beaucoup et, avec toutes les m#rdes qui m’arrivent + mes colloc’ qui ne vérifient [i]jamais[/i] le compteur (je fais tout dans cette colloc’… mais ça sera l’objet d’un autre épisode), j’ai oublié d’aller recharger ça. Fort heureusement, il semble que cela ne datait pas de plus d’une heure donc le temps d’aller en acheter puis de revenir, les produits au réfrigérateur étaient encore bons. Ensuite je mange, puis je me mets à bosser… enfin, j’essaie. Pour résumer : du bruit et de l’agitation [s]tout le temps[/s]. Quand ce ne sont pas les travailleurs qui viennent repeindre la maison, ce sont les voisins, et quand c'est ni l'un ni l'autre c'est le chat… et c’était ça depuis 1 semaine et ce n’est toujours pas réglé à l’heure actuelle (je ne vous dis pas à quel point je suis dans la panade pour mon Mémoire de fin d’étude, même écrire cette histoire est compliquée). La journée se passe… Tiens, il y a l'air d'avoir moins de pression dans les robinets... Le conseil de guerre se réunit. L’amiral Anderson se lève : « Mes frères et sœurs d’arme, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle, et la mauvaise risque de vous rester en travers de la gorge… » Un silence de mort s’installe, tous ont en tête les fourmis et leur apparition dans la chambre, auraient-elles envahi le lit ? Après une minute, l’amiral reprend : « Les fourmis se retirent. » Un léger murmure parcourt l’assistance et, du coin opposé de la pièce, une voix pose la question qui est venu à l’esprit de chaque être se trouvant dans cette salle : « Et la mauvaise ? » « La mauvaise…, reprend l’amiral. [center]«La mauvaise, c’est que nous allons manquer d’eau. »[/center] [/spoil] [spoil=[i]Trailer Saison 2 Épisode 4[/i]] Il va falloir rationner l’eau. Ça ne fonctionne pas ! Les fourmis, elles… Combien de temps les troupes vont-elles pouvoirs tenir Johnson ? Les mesures ne donnent rien… Quelque chose cloche… Vous ne pensez pas sérieusement que… Malheureusement si. Je ne vois qu’une seule solution… Il va nous falloir un épisode 5. [/spoil] Je fais plus que l'anticiper Matteo (j'ai déjà mon billet de retour vu qu'il me le fallait pour le visa) mais là je vais avancer la date de mon retour, j'en ai un tout petit peu [i]*euphémisme de l'extrême!*[/i] marre. Si ça continue, il y aura une saison 3... |
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Polux999
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 20/5/2019 à 18:27 |
Wow ça fait un bail que personne n'est malheureux ici ou quoi ? Bon aujourd'hui j'avais ma soutenance de mémoire. C'était l'enfer. Pour rappel l'oral est divisé en deux parties, d'abord une présentation de 15 min dans laquelle je parle de mon mémoire et de comment l'améliorer ou ce genre de choses, puis un entretien de 15 min durant lequel le jury est censé donner des commentaires sur mon travail. Partie 1 : j'ai duré 8 min. Les profs étaient bizarres, ils arrêtaient pas de lever les sourcils d'un air interrogateur, du coup à un moment j'ai bafouillé (ce qui m'arrive jamais) et j'ai été obligé de m'arrêter pour reformuler. Ça m'a fait perdre mes moyens résultat j'ai torché le truc. Partie 2 : l'une des jurées était hyper froide, ils n'ont fait que me poser des questions hyper spécifiques (super c'était pas prévu) et à l'une d'entre elle je n'arrivais pas à donner une réponse satisfaisante ils ont donc reformulé plusieurs fois mais à chaque fois ma réponse ne convenait pas jusqu'à finalement me donner la réponse... Que j'avais révisé ! Mais évidement con comme je suis j'ai pas fait le lien avec la question ! Ils ont passé 10 min à m'expliquer de long en large la notion et je pouvais juste placer des "ah oui, effectivement je n'y avais pas pensé" et des "d'accord je vois oui oui". Dire que juste avant moi une meuf de mon groupe est passée avec eux et en sortant m'a dit "ohlala ils sont super sympa c'était vraiment tranquille !". Mouais c***asse. Et évidemment la fiche de suivi de mémoire que je fais signer à mon responsable et qui doit être rendue aujourd'hui dernier délai à l'administration, devinez quoi ? J'ai pas pu la rendre parce que la secrétaire était évidemment pas là ! Alors que sur son bureau ses horaires étaient écrites et elle était censée être là encore une heure et demie ! J'ai donc erré dans le couloir de portes en portes pour à chaque fois me prendre des gros vents, puis après avoir attendu une vingtaine de minutes j'en ai eu raz le cul et je me suis cassé sans avoir rien rendu. Je vais donc devoir y retourner mercredi en espérant que ce ne soit pas son jour de congé (ouais je suis tellement con que j'ai pas pensé à prendre en photo ses horaires). Ce qui fait vraiment chier c'est que la note pour ce mémoire doit obligatoirement être au dessus de 10 si veux valider mon Master. Sachant que j'ai au moins 14 de moyenne dans toutes les autres UE ça serait vraiment la cerise sur le gateau. Surtout que si je valide pas l'année je devrais tout repasser bien évidemment. Fac de crotte, j'ai l'impression que j'en sortirai jamais. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 20/5/2019 à 21:51 |
Oh là là mon pauvre. On dirait que tous mes taunt sur le fait que tu n'aies pas ton master vont se réaliser ! :( |
Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 21/5/2019 à 17:41 |
Polux = tes profs étaient bizarres ? Tu diras ça à David à l'IRL de juin, à sa soutenance une membre du jury avait laissé un bigoudi dans ses cheveux. Dans ma promo, le prof de médiévale surnotait ses étudiants en soutenance (en gros t'es nul t'as 15 et si t'es bon t'as 19, tous les autres sont entre deux), et la mode à Amiens c'est de laisser le directeur de mémoire en Master centraliser les notes des partiels. Du coup il met la même note partout sur la feuille rendue au secrétariat.avec un gros fuck pour les autres profs qui s'emmerdent à organiser des partiels tu ne sais pas pourquoi. En M1 j'étais la meilleure de la promo mais après les soutenances tout le monde ou presque m'avait rattrapé... Alors pour se venger mon directeur en M2 il m'a mis 19,5 partout... Franchement j'ai la haine en plus d'avoir la honte. [spoil=secrétaire] Sache qu'elles sont toujours absentes le mercredi à cause des gosses. Et le vendredi après midi parce que c'est le weekend[/spoil] |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 21/5/2019 à 17:58 |
Oh là là ces grognasses et leur vie de famille. >( |
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Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 24/5/2019 à 07:18 |
J'ai rdv chez le médecin à 9h45. Pour une obscure raison je me suis persuadée que c'était 9h15... Sachant qu'elle a entre 10 et 20 min de retard sur son planning, je suis bonne pour attendre plus d'une heure. :x Topic de la lose plus que topic de la haine. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 24/5/2019 à 08:58 |
Oh là là , peut-être devrais-tu utiliser ce temps pour méditer ? :) |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 24/5/2019 à 21:01 |
J'ai la haine envers mon école qui manque cruellement de communication. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 24/5/2019 à 22:27 |
Courage, petit bambou. :) |
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ARTY-CODE-1
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 25/5/2019 à 06:47 |
J'ai la haine contre les moustiques. Saleté ! |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 25/5/2019 à 08:06 |
J'avoue c'est une bonne daube ça aussi. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 25/5/2019 à 10:33 |
C'est vrai que c'est embêtant à titre individuel. Mais ils faut se dire qu'ils sont nécessaires pour la biodiversité, non ? :) |
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bouh00
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 25/5/2019 à 21:32 |
Encore tes fantastiques collègues ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 26/5/2019 à 08:04 |
Avant tout, il faut savoir qu'une sortie à l'extérieur de l'école doit être demandée sur un papier spécifique à remplir et selon la sortie, cette demande doit être envoyée au minimum une semaine avant la dite sortie pour quelque chose à proximité et 3 semaines avant pour quelque chose d'éloigné. Ma binôme me contacte mardi, jour où c'est elle qui tient la classe (un cirque serait un mot plus exact mais passons), totalement énervée. En effet des sorties prévues (au nombre de 3) à la médiathèque de la ville d'à -côté étaient normalement prises en charge et ne demandaient aucune autorisation de sortie à envoyer à notre inspectrice. Le jour-même de la première sortie sur les 3, notre directrice lui dit que si, si, il faut une autorisation de sortie... :/ Ce serait pas un peu son rôle de nous prévenir de ce genre de choses ? Bref. Donc ma binôme me demande de le faire et d'envoyer le papier le plus rapidement possible à la directrice. Ce qui m'a aussi un peu énervée parce que la directrice ne gère pas les papiers le mardi de toute manière mais le jeudi. Donc elle aurait pu le faire elle-même. Mais je suis sympa, je lui fais. Entre-temps elle m'annonce qu'il faut aussi remplir numériquement la demande de sortie pour la ferme, que j'avais remplie manuscritement la semaine passée et que j'avais montrée à la directrice qui l'a vue sans sourciller. Concrètement, elle se fout de ma tronche, non ? Elle voit que je l'avais remplie à la main puis elle demande à ma binôme de la remplir numériquement parce que ça ne va pas ? (En vérité c'est notre inspectrice qui veut numériquement) Donc je me suis tapée 3 autorisations de sortie numériquement. Et je les ai envoyées le jour-même. Le soir de cette magnifique journée, ma binôme me recontacte et, tout en pétant les plombs, m'annonce que la sortie à la médiathèque n'avait pas eu lieu car il n'y avait pas de car pour emmener les enfants. Le car n'était pas présent à cause d'un "souci de communication" à la mairie. :) Paix et joie. Alors qui s'est farcie une quatrième demande de sortie ? C'est bibi ! J'ai signé pour être prof, pas secrétaire. Et je vous jure que le temps passé dans les papiers pour tout et rien c'est monstrueux. Exemple : - Faire une autorisation de sortie pour aller à la bibliothèque. - Faire un mot annonçant qu'une sortie à la bibliothèque est organisée en demandant si des parents veulent bien nous accompagner. - Recontacter les parents accompagnateurs la veille pour leur rappeler. - Mettre un nouveau mot dans les cahiers pour demander à rendre le livre de la bibliothèque pour telle date. - Comme certains parents sont complètement demeurés ("Nous n'avons pas le livre chez nous" -> Bah oui c'est moi qui l'ai mangé ! / "Notre enfant n'a ramené aucun livre" -> Bah oui il l'a mangé lui aussi... / Etc.) ou qui ne lisent pas les cahiers, faire des rappels pour ceux n'ayant pas rendu le livre. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 26/5/2019 à 08:47 |
C’est un coup à prendre. Quand tu auras des modèles-type de chaque situation, ça ira beaucoup plus vite. En attendant il faut t’accrocher et ne pas laisser ces petits désagréments gâcher ton beau métier ! Courage. :) |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 26/5/2019 à 14:17 |
Bah au bout de 4 autorisations de sortie je pouvais en enchaîner d'autres, c'est sûr. Mais ma collègue qui a 15 ans de métier derrière elle assure que c'est démoralisant aujourd'hui de faire une sortie parce qu'il y a beaucoup de choses à gérer nous-mêmes. Pour la sortie à la ferme par exemple, c'est à nous de contacter la ferme pour avoir un devis, à nous de contacter la société de transports pour avoir un devis pour le car, et tu peux ajouter tous les mots pour les parents en supplément ainsi que des mots spécifiques pour ceux qui, à un mois et demi de la fin de l'année n'ont pas encore donné toutes les assurances pour leurs gosses. |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 26/5/2019 à 16:06 |
Ça ne me choque pas. Mais oui, pour faire avancer les choses, il faut mettre les mains dans le cambouis. :) Ou se contenter du métier de “base.†|
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Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 08:28 |
Spéciste ! |
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Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 08:31 |
Zucchina => https://youtu.be/c45FtDhdDoY [quote] Pour la sortie à la ferme par exemple, c'est à nous de contacter la ferme pour avoir un devis, à nous de contacter la société de transports pour avoir un devis pour le car, et tu peux ajouter tous les mots pour les parents en supplément ainsi que des mots spécifiques pour ceux qui, à un mois et demi de la fin de l'année n'ont pas encore donné toutes les assurances pour leurs gosses.[/quote] Ouais ouais mais une étude récente a encore montré que les profs travaillaient moins que les autres fonctionnaires (lol) donc t'inquiète pas d'ici un an ou deux ils vont te donner encore un peu plus de paperasse à faire. :zen |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 12:02 |
S’ils sont payés sur 12 mois wynot. |
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Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 15:28 |
J'estime qu'un job où tu dois supporter un troupeau d'humains tous les jours ou presque pendant 6 à 8h mériterait d'être mieux considéré. Dans la plupart des jobs tu n'as à gérer qu'une personne à la fois (ce qui est déjà bien pourri selon moi). |
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bouh00
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 17:18 |
MODO PAS RÉMUNÉRÉS ! |
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Dark Matteo
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 27/5/2019 à 18:06 |
Ma foi, ça dépend ce qu'on appelle "gérer", mais sans être responsable de personne j'ai pas mal de monde à gérer au boulot. |
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zucchina
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 28/5/2019 à 04:53 |
Troupeau d'humains ayant entre 3 et 11 ans* :mrgreen: Ben moi ce qui me choque c'est qu'il y ait autant à faire. On m'aurait dit qu'il y avait la ferme à contacter, ok. Mais la société de transports en plus, ça je ne m'y attendais pas par exemple. Hier j'étais donc à l'école, et j'y retourne aujourd'hui... Parce qu'il y a encore eu un manque de communication ! :mrgreen: (je suis censée aller à l'école tous les jours qu'à partir du 3 juin) |
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Tracy
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 28/5/2019 à 07:12 |
Je pensais aussi aux profs du secondaire (12 Ã 18... Voire 20 XD). |
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Polux999
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 28/5/2019 à 23:57 |
En fait zucchi est une maman de Gracefield (comprendra qui pourra). XD |
Silver_Altaria
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 29/5/2019 à 00:11 |
J'ai même eu 22... |
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Cyrlight
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 29/5/2019 à 07:35 |
J’ai compris ! Excellente référence ^^ |
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Requiem
[ Utilisateur déconnecté ] Envoyer un MP le 29/5/2019 à 09:41 |
Oh là là , désolé de voir des gens découvrir que le travail c’est une corvée. :( Courage. Je vous nèm. :) |
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